ici Qu’est-ce qu’elle tombait bien cette chanson « Je viens te dire que je m’en vais  » ! Magnifique ! Au titre tout indiqué pour accompagner la vasque olympique qui s’éteint, mais pas que ! Car il est des lieux qui façonnent d’une autre façon les interprétations divertissantes. A bien y écouter, outre-passant l’olympisme et le […]

Jean-Paul Dollé, un philosophe urbaniste, l’aurait écrite, mais il n’est plus de ce monde. C’est heureux qu’un autre philosophe de l’urbain s’y colle, Thierry Paquot. En signant une tribune dans le Nouvel Obs titrée : Non aux anneaux olympiques sur la tour Eiffel ! La Chronique d’ici-même s’était réjouie de la cérémonie d’ouverture magnifique -lire […]

Ces matins d’été, je longe quelques kilomètres de plage libre. Je croise des pêcheurs avec des cannes fichées dans le sable, des dragueurs de coques, aussi appelés palourdes, des familles organisées, des personnes âgées faisant des promenades thérapeutiques avec ou sans chiens, un stand sur roues pour faire des achats à bas prix. Une humanité […]

Assez fidèle à nos entretiens anciens pour Logosphère, La Chronique d’ici-même de nature curieuse aime revisiter ce que pensent et disent de nos jours celles et ceux rencontrés à cet effet il y a un certain temps. C’est pourquoi, inaugurant cette série, le premier volet – préalable à une nouvelle rencontre- est consacré à ce […]

« Toute la question est maintenant de savoir ce que les Français vont faire de l’énergie, de la bienveillance, du goût du vivre-ensemble, de la soif de succès et de la foi en eux-mêmes qu’ils viennent de manifester  » écrit Le Monde dans son éditorial de lundi – lire ici. Très juste. « Comme la démocratie, cette […]

Après avoir passé des heures et des heures devant la télé depuis le début des Jeux 0lympiques, et partageant cette union d’enthousiasme collectif, la Chronique d’ici-même compte saluer cet inespéré retour sur le corps vivant ! Ce corps qui fait surgir un monde, notre bien commun, quel est-il ? S’agissant de cet univers partagé à […]

Vu de mon écran, je n’avais aucune raison à ne pas reconnaître Dionysos dans ce moment dense aux accents jubilatoires où l’on voit Philippe Katerine -« tout nu « – au petit bedon quasi nu, peint en bleu émergeant d’un plat de fruits chantant la conciliation, entouré d’acolytes fêtards selon un festif bien sage, sans banquet ni […]