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Ce n’est pas si fréquent. N°1169

Écrit par sur 10 octobre 2024

Ce n’est pas si fréquent que d’une Chronique à l’autre ça s’enclenche aussi opportunément. Ainsi celle-ci de ce jour relaie ci-dessous cette belle chronique publiée dans l’excellent mensuel Le Monde diplomatique (octobre 2024), consacrée à cette autre grande figure de la littérature nord-américaine James Crumley (l’ours écrivain), copain et voisin de Jim Harrison de la « bourgade » de Missoula dans le Montana.  » D’un Etat immense, au nord-ouest des Etats-Unis, peuplé de cow-boys, d’élans et de truites gigantesques, et d’une ville bourrée d’écrivains, une sorte de Ploucville improbable où écrire des bouquins était aussi commun que de jouer du jazz à New York, et où la culture se mesurait au densimètre… » comme la décrivait le regretté Michel Le Bris.

Si bien que cette Chronique d’ici-même se raccroche à celle-là qui causait de cette magnifique coïncidence, due au hasard du temps, m’ayant permis d’approcher ces deux monstres littérairement, physiquement comme joyeusement parlant, à l’occasion d’une table ronde qui se tenait alors ré-serrée dans la rotonde du Palais du Grand large de Saint-Malo, ceci dans le cadre d’une édition qui restera gravée dans l’histoire du Festival Étonnants voyageurs.

Leurs rires colossaux me revenant en mémoire, Harrison venait tout juste d’être rattrapé par une vague le mouillant à mi-mollet, chaussures et bas de pantalon compris, m’apparaissent une nouvelle fois comme une invitation à « aller voir ce qu’il y a derrière le virage ».

D.D

Ce qui a été dit ou écrit autour de Jim Harrison, de Michel Le Bris et d’ Etonnants voyageurs.


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